Affaire Gérard Depardieu : ce que révèlent les caméras de son domicile
Ce mardi 23 février, un tweet de l’AFP informait que Gérard Depardieu a été mis en examen pour “viols” et “agressions sexuelles”. Des accusations d’une plaignante comédienne datant 2018. Afin d’avancer dans les investigations, les enquêteurs ont procédé à l’analyse des caméras de surveillance du domicile de l’acteur.
Une nouvelle icône du cinéma dans la tourmente. Accusé de viols et agressions sexuelles par une comédienne qui souhaite garder l’anonymat, Gérard Depardieu a été mis en examen au mois de décembre 2020, comme l’a annoncé l’AFP ce mardi 23 février. Les faits se seraient déroulés les 7 et 13 août 2018, au domicile de l’acteur situé à Montparnasse à Paris. Si Gérard Depardieu conteste les faits, la plainte de la jeune femme a permis l’ouverture d’une enquête, confiée, selon Le Parisien, au 3e district de la police judiciaire parisienne. Les équipes de ce dernier ont d’ailleurs pu se procurer les images des caméras de surveillance situées au sein de l’hôtel particulier de la star.
Selon la plaignante, les faits se seraient déroulés dans le salon et la chambre de Gérard Depardieu. Néanmoins, les images récoltées ont permis d’analyser uniquement les scènes se déroulant dans la première pièce. La deuxième n’étant pas munie de caméra. “On y voit, lors de la première rencontre, les deux comédiens discuter, puis le célèbre acteur pratiquer une pénétration digitale à la jeune actrice, avant qu’ils ne montent à l’étage l’un après l’autre, où aucune caméra n’est installée”, déclarent nos confrères. Le Parisien fait également part de nombreux “échanges troublants” entre les deux artistes. Gérard Depardieu, qui reste présumé innocent jusqu’au jugement définitif de cette affaire, aurait comparé la demoiselle à la chanteuse Barbara.
Gérard Depardieu conteste sa mise en examen
Contacté par quotidien, Me Hervé Temime, avocat de Gérard Depardieu a déclaré que ce dernier “conteste sa mise en examen“. Celui qui est également le défenseur de Richard Berry regrette également la médiatisation de l’affaire : “Je déplore qu’elle soit rendue publique, la présomption d’innocence étant une nouvelle fois bafouée“. De son côté, l’avocate de la plaignante a demandé que “l’intimité et la vie privée de sa cliente soient préservées”.
Crédits photos : Bestimage
Click Here: cheap nrl merchandise